Le jour où j’ai raccroché (fiction)

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© Dresden, je t’aime.

J´ai raccroché il y a exactement deux jours. Comme ça; comme quand on raccroche un peu violemment le combiné dans une cabine téléphonique, parce qu´on est tombé sur la messagerie, qu’on a pas ses clés et qu’il pleut.

Sauf que moi, quand j’ai raccroché, j´étais assise là, depuis 2 ans, devant cette Kallax blanche; face aux toilettes des hommes. Je n’étais pas dame pipi. Je n´avais pas non plus de combiné. Mais un casque sur la tête qui serait à coup sûr resté accroché dans mes cheveux si j’avais voulu le retirer avec une telle véhémence.

Le jour où j’ai raccroché, c’était un jour « normal ». Le réveil à 6h30, le bus numéro 62 de 7h32 – 25 dans les bons jours – le détour par le centre commercial, le coup d’œil dans le miroir de chez Douglas, le café filtre du ON!Express et puis les quelques mètres avant d’arriver.

Le jour où j’ai raccroché, j ai fait comme tous les jours. Je me suis exécutée. Au sens propre comme au figuré. J’ai d’abord cherché des numéros de téléphone sur internet (« C’est un très bon exercice pour toi ». Ainsi soit-il) puis j’ai appelé des gens. Le plus souvent j’appelle des gens pour savoir s’ ils reçoivent des publicités dans leur boîte aux lettres. Entre deux appels, quand je m’ennuie je corrige les fautes de grammaire d’autres gens, plus importants (paraît-il). Ou je repense avec une certaine tendresse à D.& B. ces deux chihuahuas disparus (puis réapparus Dieu merci) qui avaient fait l’objet d’une réunion d’équipe extra-ordinaire…

Le jour où j’ai raccroché, j’ai tapé un dernier numéro sur l’écran de mon ordinateur. C’était une dame, vieille, gentille. Je lui ai demandé comme d’habitude si elle avait reçu ses publicités de la semaine. Elle m’a demandé de patienter un instant pour aller chercher son papier « Attendez voir je vais chercher mon papier ». Elle avait tout consigné : titres reçus, dates et heures de passage du distributeur. J’ai pris note. Et puis très polie comme je l’ai toujours été, je lui ai dit : « Je m’en fou. » et j’ai raccroché. En cliquant très fort sur ma souris qui pointait sur le pictogramme rouge en forme de combiné.

J’ai pris mes affaires, ramassé par terre cette très mauvaise version de moi-même et je suis partie.

Le Café « Stadt Riesa » / quartier de Friedrichstadt à Dresde.

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Dresden, je t’aime.

En novembre dernier, ma copine Anna me faisait découvrir une super adresse, le café « Stadt Riesa » situé dans le quartier de Friedrichstadt à Dresde.

Pas vraiment resto, pas vraiment cantine, le café propose chaque midi deux ou trois plats, souvent traditionnels et toujours savoureux.

Là bas, on ne perd pas son temps. On rentre, on commande au comptoir et on paie tout de suite. A peine a t-on réglé sa note que l’on récupère déjà son assiette.

Dans la salle, on partage de grandes tables en bois avec un ami, un collègue, un parent, un inconnu.

Au mur, les photos d’une expo.

Entre 80 et 100 repas sont servis chaque midi par d’efficaces dames. Des dames d’un âge…certain.

Et pour cause le café est en fait celui d’une maison intergénérationnelle ouverte à tous. Le matin il sert d’espace de rencontres, d’échanges des idées, d’information où l’on peut aussi apprendre, s’investir dans des projets bénévoles et même trouver du soutien, quelque soit son âge, sa situation familiale ou sociale. Le soir à partir de 18h il redevient un café classique.

La maison intergénérationnelle a été crée en 2008 au sein de l´association riesa efau. Kultur Forum Dresden, un lieu d’éducation, de création et de diffusion artistique où la culture est vecteur de lien social et interroge notre société.

Cqfé Stadt Riesa
Lundi – vendredi 11h30 – 14h30
Mehrgenerationenhaus Dresden-Friedrichstadt | riesa efau. Kultur Forum Dresden Adlergasse 14 – 01067 Dresden
Tel: 0351-8660249

Do you…escape ?

© Dresden, je t'aime

© Dresden, je t’aime

Une pièce – une heure – une équipe !

TeamEscape est un jeu d’évasion grandeur nature fraîchement installé à Dresde. Il fait partie de ces Live Escape Game; un concept venu d’Asie qui s’inspire de jeux vidéos et qui commence à faire fureur en Europe.

Le but ? Vous échapper en moins d’une heure d’une pièce fermée à double tour.

Vous aurez soit à réussir une succession de jeux de logique déconnectés les uns des autres soit à résoudre une énigme construite autour d’un récit.

C’est ce que propose le TeamEscape de Dresde avec deux histoires : Mr. Nobody’s erster Fall (Le premier cas de M. Nobody) et Der verlorene Sohn (Le fils perdu). Pour résoudre ces énigmes et réussir votre évasion, vous devrez combiner entre eux des indices dissimulés dans le décor du jeu.

Le TeamEscape de Dresde a été ouvert en novembre 2015 par Margrit et Dennis, un couple vraiment sympa qui vous accueillera dans un appartement cosy de la Neustadt. Après quelques consignes données en allemand ou en anglais (Dennis parle aussi parfaitement français) vous serez conduit sur votre terrain de jeu.

Une fois enfermés, vous ne serez pas tout à fait livrés à vous-même car dans une pièce attenante, Margrit et Dennis vous verront évoluer dans le jeu par cameras interposées. Et s’ils vous sentent en difficulté ils vous donneront quelques indices qui s’afficheront dans un écran présent dans la salle.

Pari réussi de notre côté avec une sortie en un peu moins d’une heure. Et je dois avouer que j’ai trouvé beaucoup plus amusant de retourner la pièce pour trouver les indices que de résoudre les énigmes !

Bref, une activité grisante qui vous videra la tête à coup sûr.

Spéciale dédicace à ma team qui se reconnaîtra !

TeamEscape Dresden
Katharinenstr. 21
01099 Dresden

C’est à vous ! Connaissiez-vous les Live Escape Game ? Avez-vous déjà tenté ? Dans quelle ville ? Vous avez aimé ? Racontez-moi !

Qui veut goûter mes chichis, mes churros, mes beignets.

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© Nicolas Brouilly / Dresden, je t’aime.

Si jamais l’envie furieuse de dévorer des churros vous prenait à Dresde, et que, las(se) de vous imaginer les boulottant sur une plage du Cap Ferret, vous désiriez enfin passer à l´acte,

le Nibs cacao est pour vous.

Situé tout en haut de la Kamenzer Strasse – la rue de la fameuse pâtisserie Emoi  –  le café vous ravira de ses churros avec tout ce qu´il vous faudra de sucre et de gras. Et surtout de chocolat puisque vous pourrez même les tremper dans un chocolat chaud. Un chocolate con churros, qui, paraît-il, serait aussi bon qu’à Madrid …!

Cette maison spécialisée dans le cacao à boire et le chocolat à croquer est tenue depuis 3 ans par un couple argento-colombien qui vous accueillera avec la même chaleur que vous soyez des habitués ou non.

C’est un lieu « vivant » qui semble être aimé des familles et qui est donc à oublier pour un rendez-vous galant. Ce serait dommage de le gâcher en marchant …sur un enfant.

Nibs cacao
Kamenzer Strasse 42
01099 Dresden
C’est à vous ! Le Cacao Nibs, vous connaissiez ?! Vous aimez ?

Il y a des jours comme ça.

© Dresden, je t'aime.

© Dresden, je t’aime.

Il y a des jours comme ça, où vendredi tombe un 13, mais d’ordinaire, ce genre de superstition, vous vous en foutez.

Il y a des jours comme ça où la putain de fermeture éclair de votre manteau se bloque dans une pièce surchauffée, au milieu de gens devant lesquels il va falloir soit assumer votre manteau : « Oui il fait 50 degrés. Et alors ? j’ai quand même le droit de garder mon manteau, non ?! , soit faire un truc ultra bizarre pour le retirer :

1447668147.2303animation3viteIl y a des jours comme ça où votre fils ruine le gâteau fait par une maman (en le pétrissant jusqu’à obtenir un immense tas de miettes) alors que vous, vous aviez apporté un pauvre-paquet-de-gaufrettes et un jus de fruit discount,

Il y a des jours comme ça où votre frère rappelle à votre mec que ce soir là il y a foot alors que vous aviez déjà mille et une idées de films pour la soirée,

mais vous vous en foutez.

Car il y a des jours comme ça où vous vous retournez soudainement vers votre mec en lui disant « Non mais sérieux, c’est quoi c’délire à Paris ?! »

Et alors ces jours là, vous vous sentez loin, très loin de la maison…

Bref, il y a des jours comme ça où tout part en couille.

Je dédie ce petit billet à toutes les victimes de ce vendredi 13, à leurs familles, à tous les aidants et à mes amis d’ici qui se sont inquiétés de savoir si les miens, là-bas, étaient ok.

L’Edelweiss.

© Dresden, je t'aime.

© Dresden, je t’aime.

Vous cherchez un bon resto dans le centre historique de Dresde ? Cette adresse est pour vous.
Bien que situé sur la place la plus touristique de Dresde, en face de l’impressionnante Frauenkirche, l’Edelweiss n’est pas l’attrape-touristes que l’on pourrait craindre. Il offre en effet un accueil des plus chaleureux et des tarifs tout à fait abordables pour un tel emplacement.
L’Edelweiss propose une cuisine dite « des Alpes », au cœur de laquelle se trouvent röstis et spécialités fromagères. C’est une cuisine familiale, généreuse qui réchauffe, réconforte et tient au corps.
Nous avons entre autres testé :
– les röstis croustillants & son émincé zurichois (selle de veau, échalote, champignon, vin blanc & crème),
– le tafelspitz (des tranches de boeuf bouilli servies ici avec une sauce à la crème pomme/raifort et des knödels de pomme de terre sarrasin /bacon),
– l’apfelstrudel servi chaud avec une sauce et une glace à la vanille, de la chantilly,
– la mousse au Toblerone servie avec une nage d’orange,
Le cadre est celui d’un chalet cossu de montagne où la décoration est extrêmement soignée.

L’équipe habillée en costume traditionnel – dirndl pour les femmes, et culotte de cuir (Lederhose) pour les hommes – veille vraiment à votre confort, que vous preniez un chocolat chaud sur la terrasse (chauffée où des plaids seront à votre disposition) ou que vous dîniez à l’intérieur.
Un grand merci à mes parents pour cette belle soirée.

Edelweiss
Alpenrestaurant
An der Frauenkirche 7
01067 Dresden
Tel. 0351 – 4 98 98 36

Le bilan !

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© Dresden, je t’aime.

ll y a deux ans,
je quittais un job qui me collait à la peau, j’échangeais un baiser de pacs, j’assistais fièrement à la thèse de ma-moi-tié, je faisais une dernière fête au 17 rue Leynaud, je faisais la tournée des popotes, je foulais une dernière fois le sol de ma ville, je repeignais un mur (oui, pourquoi pas), je courais un 10 km, je montais dans le train, je perdais la moitié de mes affaires, je retrouvais ma-moi-tié et une nouvelle ère commençait enfin à Dresde.

En deux ans,

j´ai rencontré des gens du monde entier; j’ai amélioré mon allemand, j’ai écrit mon blog, j’ai fait l’hôtesse au milieu de cadavres, j’ai supprimé mon blog, j’ai vu plein d’expos, je me suis inscrite à la bibliothèque, je me suis remise à l’anglais, je ne suis plus jamais retournéeà la bibliothèque, j’ai donné des cours de français, j’ai réécrit un blog; j´ai planté mon élève de français; je suis devenue call girl, j’ai vu Prague et Varsovie, j’ai cru mourir dans un avion face à une hôtesse qui me faisait encore plus peur que la mort, j’ai fait du community management pour une super asso, et surtout, j´ai fait le plus beau des enfants.

Bref j’ai fait c’que j’ai pu !
« Le temps passe et passe et passe
Et beaucoup de choses ont changé
Qui aurait pu s’imaginer qu’le temps serait si vite écoulé
On fait l’bilan calmement en s’remémorant chaque instant « 
Psst ! Le beau vélo que l’on voit sur la photo a été réalisé par Le Pot à rayons !

Comment visiter Dresde : ma sélection.

© Dresden, je t'aime.

© Dresden, je t’aime.

Ce que j’aime à Dresde, c’est pouvoir faire une pause dans mon quotidien en me mêlant aux touristes de ma ville. Et les offres pour visiter celle que l’on appelle la « Florence de l’Elbe » ne manquent pas. Voici une (ma) petite sélection pour vous aider à faire votre choix :

– à pied : Profitez des “free guided tours” or “free walking tours” ; ces visites commentées sont exclusivement financées par les pourboires (j’en parlais dans mon billet sur la ville de Wroclaw). A Dresde, trois guides se sont réunies pour proposer des Free Tour tous les samedis ; en espagnol, et alternativement en anglais et en allemand. Et comme elles l’expliquent très bien sur leur blog, ce mode de financement les oblige à donner… le meilleur d’elle-même !

– à vélo : Sachez que l’office de Tourisme de Dresde propose des visites guidées à vélo d’avril à octobre. Ces tours durent 2h30, sur une distance d’environ 15km.

– en Trabant : qui était LA voiture de la RDA du temps des deux Allemagne et qui est aujourd’hui un symbole de l’ostalgie, cette nostalgie de l’Est. A Dresde vous avez la possibilité de faire un « safari » en Trabant et même une visite en Trabant-Limousine.

– en bus à étage : Deux compagnies se partagent la ville : les bus rouges et les bus de la compagnie Stadtrundfahrt. Cette dernière propose un grand circuit commenté en allemand (et retransmis en 11 langues) d’une durée de 2 heures soit 22 arrêts permettant de découvrir les particularités architecturales, historiques et culturelles de la ville. La formule est vraiment intéressante : pour 22 euros votre ticket est valable 2 jours. Et si vous l’achetez après 16h, il est valable une troisième journée. Chaque journée supplémentaire est ensuite à 2 euros. Lorsqu’il est abordable et de qualité, ce mode de visite est très utile pour appréhender une ville notamment lors de séjours très courts. Il offre une vue d’ensemble sur la ville et la possibilité de revenir sur les points d’attention grâce un système de libre montée /descente.

– en bateau au fil de l’Elbe : La Compagnie Sächsische Dampfschifffahrt propose toute l’année de belles promenades au fil de l’Elbe. La plus courante est une balade qui va de la vieille ville au Blaues Wunder lors de laquelle vous passerez devant les 3 châteaux romantiques du quartier de Loschwitz et découvrirez les 5 ponts qui surplombent l’Elbe à Dresde. Ou bien, si vous avez envie de quelque chose d’un peu plus « rock and roll », réservez un grillboot (oui, un bateau-barbecue) …

Et si vous n’êtes pas rassasiés (en idées, pas en saucisses) d’autres modes de visites s’offrent à vous : le etuktuk, le segway, le ConferenceBike, les cars vintage et même la montgolfière.

Que c’est beau de voir s’envoler une montgolfière depuis les bords de l’Elbe ! Et les prestataires ne manquent pas. Il y a un véritable attrait que l’on doit à la beauté singulière de cette ville et à la proximité de la Suisse Saxe.

Alors, n’hésitez plus, venez nous voir !

Jour de fête : le 1er jour d’école des petits allemands.

© Dresden, je t'aime.

© Dresden, je t’aime.

Samedi dernier, Dresde fêtait la rentrée des enfants commençant la grande aventure de l’école primaire (la Grundschule).

En Allemagne la première année d’école, Erste Klasse, correspond à notre CP français car il n’existe pas de maternelle à proprement parler. Les enfants qui ne sont pas gardés par leurs parents ou en nourrice vont à la crèche de 0 à 6 ans. Plus précisément à la Kita (Kindertagesstätte) de 0 à 3 ans et au jardin d’enfant (Kindergarten) de 3 à 6 ans.

La rentrée à l’école primaire (en réalité une pré-rentrée) a lieu un samedi pour que les familles puissent être présentes.

La tradition veut que, ce jour-là, les enfants reçoivent une Schultüte ou Zuckertüte , une pochette surprise que l’on réserve pour l’occasion. A Dresde il était d’ailleurs impossible de passer à côté depuis le début de l’été. Un commerce florissant même si à l’origine la tradition voulait que ce soit les parents et les frères et sœurs aînés qui confectionnent cette pochette.

Schultüten dans la vitrine de la galerie / papeterie Art und Form. © Dresden, je t'aime.

Schultüten dans la vitrine de la galerie Art + Form Bautzner Strasse. © Dresden, je t’aime.

Selon les écoles et les Lands (régions), l’enfant reçoit sa Schultüte directement des mains de ses parents ou bien par l’intermédiaire de l’école. Il doit patienter jusqu’à la fin de la matinée avant de pouvoir en découvrir le contenu. Il passe ensuite le reste de la journée en compagnie de sa famille. Promenades, pique-niques ou repas au Biergarten sont ce jour là de bon ton.

Cette tradition est née en Saxe et en Thüringe au début du 19ème siècle. Autrefois les parents garnissaient la Schultüte de sucreries et de fruits secs et la remettait au maître d’école qui l’accrochait à un Zuckertütenbaum, une sorte d’arbre en fil de fer. Les enfants essayaient ensuite de l’attraper.

De nos jours la Schultüte est garnie de fournitures scolaires, de sucreries et de petits jeux.

Sources : La Gazette de Berlin, Arte Karambolage : la Schultüte.

Des gazouillis au musée.

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© Dresden, je t’aime.

Ce matin là, dans l’atelier de restauration du musée d’ethnologie de Dresde, la scène était plutôt inhabituelle.

Entre deux gazouillis, la médiatrice culturelle présentait des trésors de l’architecture ottomane à une dizaine de nourrissons, la plupart recroquevillés sur leur mère tels des bébés kangourous.

Deux bénévoles accompagnaient le groupe et récupéraient discrètement les dissidents (« les 4 pattes ») afin que leurs parents profitent pleinement du moment.

Cette visite s’inscrivait dans le cadre d’un programme remarquable intitulé « Père, Mère, Art. Et Enfant ! Pause artistique pour les jeunes parents » (Mutter, Vater, Kunst. Und Kind ! Kunstpause für Junge Eltern) proposé par les Amis des Collections Nationales de Dresde (SKD)

Ce que j’aime dans cette initiative :

> elle est inscrite dans la durée : le rendez-vous est donné tous les premiers jeudis du mois, de 10h30 à 11h45 ;

> elle est l’occasion de découvrir chaque fois un nouveau musée parmi les 14 appartenant aux SKD ;

> elle est dédiée aux enfants de moins de 1 an (ce qui n’est pas souvent le cas lorsqu’il s’agit d’activités culturelles);

> elle permet aux parents d’aller au musée sans avoir à se soucier de la garde de leur enfant ;

> elle permet de se sentir a l’aise au musée avec son bébé (une petite angoisse subsiste quand même lorsque votre bébé régurgite à quelques centimètres d’une boiserie centenaire ayant appartenu à un intérieur traditionnel de Damas…) ;

> elle est un vecteur de lien social ;

> elle est gratuite. (mais l’accès au musée est payant)

Je vous invite à consulter la page des SKD dédiée à ce projet. Vous y trouverez notamment le calendrier des prochaines rencontres.